Passé par le court métrage, le réalisateur français Michel Oncelot a ensuite investi l'animation, avec le succès qu'on lui connaît. «Kirikou et la sorcière» suivi de «Kirikou et les Bêtes Sauvages», puis «Azmar et Asmar». Véritables perles de l'animation, ces films ont ainsi réuni des millions de spectateurs.
Tous les soirs, une fille, un garçon et un vieux technicien se retrouvent dans un petit cinéma qui semble abandonné, mais qui est plein de merveilles. Les trois amis inventent, se documentent, dessinent, se déguisent. Et ils jouent toutes les histoires dont ils ont envie dans une nuit magique où tout est possible - les sorciers et les fées, les rois puissants et les garçons d'écurie, les loups garous et les belles dames sans merci, les cathédrales et les paillotes, les villes d'or et les forêts profondes, les flots d'harmonie de chœurs immenses et les sortilèges d'un seul tamtam, la méchanceté qui ravage et l'innocence qui triomphe.
Avec «Les contes de la nuit», il passe en 3D avec délicatesse, et célèbre le courage et la tolérance.
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