Qui regrette en revanche que le législateur veuille laisser le soin au procureur d'État de proposer une médiation pénale. «À nos yeux, la médiation doit venir naturellement d'une des deux parties impliquées et non pas être soumise au bon vouloir des autorités judiciaires», commentait hier, Anik Raskin du CNFL. Le projet de loi doit être soumis aux députés cette année encore.
Patrick Théry
Authors: L'essentiel