«Aujourd'hui, je constate une volonté de la part du gouvernement et des patrons de faire pression sur les salaires des jeunes pour les faire démarrer toujours plus bas alors même qu'on leur demande toujours plus d'études et de formations non rémunérées». Le président de l'OGBL, Jean-Claude Reding, est inquiet du sort des futurs jeunes actifs et le fait savoir.
Alors que les discussions avec les partenaires sociaux débuteront prochainement sur la réforme des pensions, le président du syndicat indépendant y voit un
Outre la réforme des pensions dont les syndicats attendent les grandes lignes courant du mois, l'OGBL entend poursuivre son action contre la politique familiale du gouvernement. «Le Premier ministre, Jean-Claude Juncker, nous a promis une discussion en janvier. J'espère pouvoir trouver une solution pour réparer l'injustice qui frappe notamment les travailleurs frontaliers après l'abolition des allocations familiales aux enfants de plus de 18 ans».
Patrick Théry
Authors: L'essentiel