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Mais, dès cette année, c'est le Biergerzenter et le secrétariat de la Ville qui gèrent les dossiers. Un comité de concertation se charge alors d'accorder ou non les requêtes. Dans certains cas, la police est invitée à donner son avis. «Peu d'établissements voient leur demande rejetée», expliquait, jeudi, Vic Reuter, porte-parole de la police. Mais celle-ci peut très bien envoyer un rapport à la commune pour demander que l'une ou l'autre autorisation soit refusée.
«C'est le cas pour des bars où les bagarres et incivilités sont fréquentes». Mais dans tous les cas, le bourgmestre a le dernier mot pour accorder ou non une nuit blanche.
Julie Ransquin
Authors: L'essentiel