Pour sortir de la crise, l'UEL veut aussi agir sur le chômage au Luxembourg en améliorant la formation des résidents.
La flexibilisation du temps de travail serait un autre levier soufflé par les patrons. L'idée serait de pouvoir faire travailler les salariés 52 à 54 heures par semaine en cas de forte activité en échange de repos supplémentaires lorsqu'il y a moins de travail, notamment dans les entreprises sujettes aux aléas saisonniers.
Patrick Théry
Authors: L'essentiel