Plus de 3 des 15,9 millions de consommateurs de drogues injectables de par le monde ont contracté le sida indique un rapport de Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR). Et un «élément clé» pour éviter la transmission du sida chez les toxicomanes est «la fourniture d'un ‘lieu sûr’», comme les salles d'injection qui existent en Suisse, aux Pays-Bas, en Espagne, en Norvège, au Canada, en Allemagne, en Australie et au Luxembourg. «Ce type de programmes, comme les salles d'injection, met les agents de santé en contact direct avec une communauté naturellement secrète et marginalisée», considère une porte-parole Sadia Kaenzig.
Il a donc gagné puisque les juges ont indiqué que le projet de la Fixertsuff ne correspondait pas au plan de développement de Luxembourg. Considéré comme «terrain à étude», seuls des bâtiments temporaires pouvaient y être implantés.
La Ville doit donc se mettre en chasse d’un autre terrain pour installer le centre. Pour l'instant il accueille les toxicomanes dans des préfabriqués, route de Thionville.
(L'essentiel Online)
Authors: L'essentiel