L'augmentation des taux d'imposition maximale et de l'impôt de solidarité, l'introduction d'une contribution de crise et, éventuellement, l'introduction d'une imposition minimale des sociétés de participation financière (SOPARFI) sont les mesures phare restantes. Un recul du gouvernement qui s'explique aussi par une nette amélioration des finances publiques ces dix derniers mois.
Patrick Théry
Authors: L'essentiel