Quand la roturière Catherine Middleton remontera l’allée centrale de l’abbaye de Westminster, à Londres, la planète n’aura d’yeux que pour la tenue qu’aura choisie la promise: car c’est elle qui symbolisera sa personnalité, son style et, au-delà, dira quelle sorte de reine elle pourrait être. Les services royaux ont réussi à garder le secret intact. Les couloirs de la mode ont récemment bruissé de rumeurs sur le styliste, qui serait Sarah Burton, directrice artistique d’Alexander McQueen. Mais la maison britannique a démenti.
Le site d’information américain huffingtonpost.com a parié quant à lui sur la Britannique Sophie Cranston, de la griffe «Libélula», tandis que le Daily Mail affirme que Kate Middleton a «dessiné elle-même» sa robe. Le secret maintenu, l’impact de la découverte promet d’être maximal quand Kate sortira de la Rolls-Royce Phantom qui la conduira à l’abbaye. «Sa robe, ce n’est pas seulement une robe de mariée mais une sorte de drapeau géant, symbolisant ses goûts, son engagement (ou non) envers la mode, son attitude par rapport à l’argent, au moment où le pays est en pleines difficultés économiques», soulignait dans un récent article Alexandra Shulman, rédactrice en chef de la version britannique du magazine Vogue.
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