Préjudice moral
«C'est un procès exemplaire et qui devrait être ordinaire», a commenté l’avocate de la vieille dame, Me Emmanuel Ludot, qui a justifié le montant de la réparation par «la gravité des blessures, la durée d'hospitalisation et de rééducation, les souffrances endurées et le préjudice moral». «La gravité des blessures et la réaction de l'hypermarché qui a refusé toute indemnisation dans un premier temps nous ont conduit au procès», a-t-il ajouté.
Le groupe Carrefour a indiqué qu'il était «en attente de réception du jugement» avant toute décision sur un éventuel appel. «Dans la plupart des cas, ce type de dommages est pris en charge par les assurances (du groupe) (...) lorsque la responsabilité d'un magasin est avérée. Or dans le cas présent aucun élément ne permet d'accréditer les circonstances de l'accident», a précisé un porte-parole.
(L'essentiel Online/AFP)
Authors: L'essentiel