Mais Zahia Dehar dispose désormais d’un droit d’exploitation pour des centaines de produits : «les huiles de massages, les colliers pour animaux, les nuisettes ainsi que la production de films, émissions de télévision ou radio, la location de chambres d’hôtels et même…les services de crèches et de pouponnières». Selon les informations de La Tribune, elle commencerait pas une ligne de sous-vêtements coquins» et bénéficierait pour cela de l’appui financier d’un homme d’affaire allemand.
jb/L'essentiel Online
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