M. Katzav risque un maximum de 16 ans de prison et au moins quatre ans de prison pour chaque acte de viol, la peine devant être prononcée ultérieurement. Il peut faire appel devant la Cour suprême, «mais ses chances de succès seraient nulles», selon Moshé Negbi, expert juridique de la radio publique israélienne.
L'ex-président a blêmi et murmuré «non, non» à la lecture des attendus du jugement par le président du tribunal, le juge George Kara. «Si quelqu'un a utilisé le double langage, c'est l'accusé et ses arguments selon lesquels il avait un alibi se sont effrités» à propos des deux accusations de viols, a affirmé le juge Kara.
L'essentiel Online/AFP
Authors: L'essentiel