Selon ce responsable, certains «doutes» demeurent encore quant aux «preuves» dans l'affaire de Sakineh, ce qui a retardé la prise d'une décision finale.
Mme Mohammadi-Ashtiani a été condamnée à mort en 2006 pour implication dans le meurtre de son mari, avec l'aide de son amant Issa Taheri, et à la lapidation pour adultères. La première peine a été ramenée à 10 ans de prison en appel en 2007, mais la seconde a été confirmée la même année par une autre cour d'appel.
La révélation de cette affaire en juillet par des associations de défense des droits de l'Homme a provoqué une vive émotion en Occident et une intense mobilisation, de nombreux pays demandant que cette sentence «barbare» ne soit pas appliquée.
(L'essentiel Online/AFP)
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