Quant à savoir ce qu'il arrivera au personnel communal actuel des offices sociaux, «rien, affirme Myriam Schanck du ministère de la Famille. Il continuera avec le même statut». Et puis, côté Croix-Rouge, sur les vingt-neuf assistants sociaux mis à disposition de l'aide sociale, dix-sept poursuivent ainsi leur contrat, les autres étant réabsorbés au sein des effectifs de l'ONG.
Pour Claude Bosseler, bourgmestre chrétien-social de Dippach, le grand inconvénient de la restructuration est «la perte de proximité et de connaissance des spécificités». Il est vrai qu'actuellement 116 offices sociaux ou permanences maillent le pays.
Séverine Goffin
Authors: L'essentiel