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Né en novembre, le fabricant alsacien de panneaux photovoltaïques Voltec Solar profite du salon Energaïa de Montpellier, du 9 au 12 décembre, pour son premier rendez-vous national avec les installateurs.
Dès avril prochain, une première ligne entrera en service à Dinsheim-sur-Bruche, avec une capacité mensuelle de 7.000 panneaux, à l'issue d'un investissement de 10 millions d'euros. Le programme global porte sur 20 millions d'euros d'ici à 2012, soit un chiffre d'affaires prévisionnel de 200 millions d'euros pour quatre chaînes de production, 200 emplois et 100 MW par an. "A partir de 2012, nous visons la place de leader français du photovoltaïque, avec 35 % du marché", annonce Olivier Falchi, directeur général de Voltec Solar.
Initiateur du projet et président du fabricant de panneaux mélaminés EPI, Jean-Jacques Strub privilégiera l'embauche de salariés touchés par la réorganisation de cette entreprise. Dès le printemps 2010, la couverture de deux sites bas-rhinois d'EPI servira de démonstration aux panneaux monocristallins équipés de cellules Q-Cell. Ce premier chantier concernera 7.000 panneaux sur 4.000 m2 de toitures à Duppigheim et Dinsheim-sur-Bruche.
Positionné sur le haut de gamme, le fabricant espère structurer un réseau de deux installateurs par département, prêts à réaliser plus de 40 % de leur chiffre d'affaire photovoltaïque avec Voltec Solar. Les contacts en cours concernent également le négoce professionnel spécialisé et généraliste. Au-delà des grandes toitures industrielles, l'entreprise alsacienne vise les particuliers, "principale source de développement du photovoltaïque dans les années à venir", selon Olivier Falchi.
Pour atteindre ces objectifs en sécurisant ses clients, l'industriel garantira la reprise de ses panneaux au bout de 20 ans, pour 15 % de leur valeur résiduelle, en contrepartie d'une maintenance contrôlée par ses soins tous les cinq ans.
Dès avril prochain, une première ligne entrera en service à Dinsheim-sur-Bruche, avec une capacité mensuelle de 7.000 panneaux, à l'issue d'un investissement de 10 millions d'euros. Le programme global porte sur 20 millions d'euros d'ici à 2012, soit un chiffre d'affaires prévisionnel de 200 millions d'euros pour quatre chaînes de production, 200 emplois et 100 MW par an. "A partir de 2012, nous visons la place de leader français du photovoltaïque, avec 35 % du marché", annonce Olivier Falchi, directeur général de Voltec Solar.
Initiateur du projet et président du fabricant de panneaux mélaminés EPI, Jean-Jacques Strub privilégiera l'embauche de salariés touchés par la réorganisation de cette entreprise. Dès le printemps 2010, la couverture de deux sites bas-rhinois d'EPI servira de démonstration aux panneaux monocristallins équipés de cellules Q-Cell. Ce premier chantier concernera 7.000 panneaux sur 4.000 m2 de toitures à Duppigheim et Dinsheim-sur-Bruche.
Positionné sur le haut de gamme, le fabricant espère structurer un réseau de deux installateurs par département, prêts à réaliser plus de 40 % de leur chiffre d'affaire photovoltaïque avec Voltec Solar. Les contacts en cours concernent également le négoce professionnel spécialisé et généraliste. Au-delà des grandes toitures industrielles, l'entreprise alsacienne vise les particuliers, "principale source de développement du photovoltaïque dans les années à venir", selon Olivier Falchi.
Pour atteindre ces objectifs en sécurisant ses clients, l'industriel garantira la reprise de ses panneaux au bout de 20 ans, pour 15 % de leur valeur résiduelle, en contrepartie d'une maintenance contrôlée par ses soins tous les cinq ans.
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La crise a un coût.
Le vendredi 16 avril 2010 à 12h15, l’Union des Entreprises Luxembourgeoises a donné une conférence publique autour de ses propositions et analyses concernant l’impact de la crise sur l’économie luxembourgeoise et les réformes indispensables pour rétablir la compétitivité du pays.
Notre confrère Glanzce relate largement l'exposé qui y fut donné.
Ce coût se mesure en termes de croissance perdue, de chômage qui augmente, d’emplois non créés, de déficits publics qui se creusent, d’endettement qui atteint des niveaux inégalés, de « mur de pensions » qui se rapproche. Pour sortir ensemble de la crise, il faudra que beaucoup de choses changent.
Croyant en les forces et les atouts du modèle luxembourgeois qui s’appuie sur le dialogue social interprofessionnel né de la crise sidérurgique, l’UEL propose un nouveau pacte social, caractéristique d’une volonté de sortir notre pays de la crise qu’il traverse et de le mettre sur les rails d’un développement économique durable et performant.
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