Quand on lui demande s’il est confiant pour l’arrivée de la démocratie dans son pays, la réponse est immédiatement «oui si on prend le temps de faire les choses, des élections dans deux mois, ce n’est pas bien, il faut au minimum six mois pour tout remettre à plat». Et si Ben Ali est parti, «toute son organisation demeure avec le Premier ministre ou encore le président du Parlement».
Marion Chevrier/L'essentiel Online
Authors: L'essentiel