En effet, cela peut permettre «d'établir des statistiques fiables». Toutefois, s'inquiète l'Unel, «malgré les garde-fous, trop d'acteurs peuvent accéder à ces données», qui seront conservées 15 ans. Il faut donc, affirme l'Unel, «des règles beaucoup plus strictes sur la protection des données personnelles. Il y a trop de données liées à l'origine socioculturelle des enfants et l'Uni ou le Ceps peuvent y accéder. La ministre devrait profiter des vacances pour y réfléchir».
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