«Soyons tous unis avec la Norvège», a déclaré, au nom de la Commission européenne, la commissaire aux Affaires maritimes et à la Pêche Maria Damanaki, avant d'inviter les journalistes couvrant le point de presse quotidien de la Commission à observer une minute de silence.
Attentats de Norvège Les condoléances de Jean-Claude Juncker La veille, Jean-Claude Juncker a envoyé ses condoléances au premier ministre norvégien. «Soyez assuré que je condamne ces actes barbares et inhumains avec la plus grande fermeté. En ces circonstances tragiques et douloureuses pour le peuple norvégien, je tiens à vous exprimer, en mon nom personnel et au nom du gouvernement luxembourgeois, mes sincères condoléances et entière solidarité.» Samedi 23 juillet, les jeunes socialistes luxembourgeois ont également tenu à partager leur «désarroi et leur compassion» pour la Norvège et leurs «camarades des jeunes travaillistes norvégiens» (la fusillade ciblant un rassemblement de jeunes sur l'île d'Utoeya NDLR).«Les mots peuvent paraître insignifiants face à ce crime horrible», a-t-elle reconnu, en appelant à «prendre la résolution de rester fermes sur les principes de la démocratie et de la liberté au nom desquels on se souviendra pour toujours, dans le monde entier, des jeunes gens massacrés».
Une minute de silence a également été observée «en solidarité avec le peuple norvégien» au Conseil européen, a indiqué son service de presse.
Cette minute de silence coïncidait avec celle observée en Norvège au même moment par la famille royale norvégienne, le chef de gouvernement et des milliers d'anonymes en hommage aux 93 morts du drame qui a ensanglanté la Norvège vendredi.
(L'essentiel Online/AFP)
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