octobre 2011 a été actée, mais elle devrait être compensée par «un reflux d'impôts vers les entreprises», selon Pierre Bley. Idem pour l'augmentation du salaire minimum de 1,9% dès le début de 2011.

Le patronat a donné son aval à cette augmentation, à condition que l'État neutralise cette hausse par une participation financière à la Caisse de mutualité. Elle permet aux entreprises de financer de façon solidaire les congés de maladie.
Une dernière entrevue entre patrons et ministres est prévue le 8 décembre prochain. Celle-ci devrait permettre de mettre au point les derniers détails de l'accord.

«Cette fois, la compétitivité des entreprises ne se détériore pas, mais elle ne s'améliore pas non plus. Ce sera l'un des défis de l'année prochaine», conclut le secrétaire général de l'UEL.

Patrick Théry

Authors: L'essentiel

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