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Arrivé à sa hauteur, Alonso lève le poing et l'agite férocement en direction du Russe. Même au ralenti, impossible de savoir s'il a également gratifié son adversaire d'un petit doigt d'honneur. En tout cas, la sportivité de l'Espagnol, déjà mise à mal plusieurs fois dans sa carrière, n'en sort pas grandie.
Quelques minutes plus tard, Alonso n'en démord pas et déclare trouver que «Petrov a conduit comme si ça vie en dépendait». Le Russe se défend de toute accusation de tricherie: «J'ai juste fait mon job», assure-t-il.
Fernando Alonso a vu le titre lui passer sous le nez lors du Grand-Prix de Formule 1 d'Abu-Dhabi, le week-end dernier.
Alors qu'il avait son destin en main et qu'une quatrième place lui «suffisait» pour être sacré, une stratégie douteuse de la Scuderia a mené au triomphe Sebastian Vettel, surnommé «Baby Schumi» par la presse allemande.
L'essentiel Online avec frb
(L'essentiel Online/AFP)
Authors: L'essentiel