Les premiers Américains débarquent au Grand-Duché le 10 septembre 1944. Ils ont fière allure, ces jeunes GI que le peuple célèbre comme les libérateurs de l'oppresseur allemand. Dans leurs besaces, du chocolat, des bonbons qui ne s'avalent pas, appelés chewing-gums et des cigarettes. Le genre d'hameçon pour gagner la confiance des Luxembourgeois et des Luxembourgeoises. Bien vite, la fascination et la crainte vont céder la place à l'amitié. Certaines filles, plus portées par l'aventure, envisageront même une relation avec un

«Les relations commerciales entre le Luxembourg et l'Espagne? Elles sont comme le temps… variables!». Et Fernando Gómez Avilés-Casco, conseiller économique de l'ambassade d'Espagne, d'en faire la démonstration. «Par exemple, les exportations du Grand-Duché vers mon pays sont passées de 462 millions d'euros en 2008 à 242 millions en 2009, pour remonter à 247 depuis le début de cette année». Même oscillation côté importations (232 millions d'euros en 2008 contre 96 millions depuis janvier).

Économiquement, les