Les cinq partis d'opposition, de l'extrême-gauche à la droite, ont voté à l'unisson pour condamner ce quatrième plan de rigueur en moins d'un an, censé "garantir" la réduction des déficits publics et éviter un recours à l'aide extérieure.
En cas de rejet de son plan, M. Socrates avait dit qu'il démissionnerait, non sans promettre d'être de nouveau candidat aux élections anticipées qui pourraient être fixées fin mai ou début juin.
(L'essentiel Online/AFP)
Authors: