Ce chiffre représente une hausse de 27% par rapport au deuxième semestre de 2010. Ce dernier avait affiché une baisse de 45% par rapport au premier semestre de 2010 résultant principalement d’une part du calibrage de l’activité «Financial
Markets» pour anticiper les contraintes en matière de liquidité et d’autre part d’une politique prudente en matière d’investissements. Ces mesures impactent encore, dans une moindre mesure, le premier semestre 2011.
Pourtant, malgré un environnement de marchés qui demeurent très chahutés, les revenus des activités commerciales de la banque affichent une progression de l’ordre de 8%. Un rendement dû à une production commerciale en crédits hypothécaires en hausse de 46%, accompagnée par une progression de l’encours de l’épargne de 7,2% et une production commerciale des opérations de leasing de 63%.
Un contexte difficile même au Luxembourg
Lors de la présentation du bilan semestriel, Rik Vandenberghe, CEO d’ING Luxembourg, s’est montré satisfait des résultats obtenus dans un contexte difficile: «Le contexte économique et financier est particulièrement complexe et difficile, nous le voyons tous les jours, même au Luxembourg. Nos résultats sont dus, entre autres, à une activité commerciale dynamique. Nous sommes la première banque luxembourgeoise à offrir un éventail de services gratuits accessibles à tous sur Internet».
La position de liquidité est très saine avec un ratio crédit sur dépôt de 37,3%. Le ratio de solvabilité dépasse toujours largement le seuil minimum demandé par le régulateur, avec un Core Tier 1 ratio d’ING Luxembourg se situant à 26,8%. Pour soutenir ces développements, ING Luxembourg a engagé 34 collaborateurs au cours du premier semestre, le nombre total d’employés atteignant 783.
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