nouveau système d’exploitation mobile de Microsoft, Windows Phone 7, est disponible depuis maintenant deux mois à travers une gamme de smartphones encore assez peu fournie puisqu’elle est constituée officiellement pour le marché français de quatre appareil : le HTC HD7 (apparemment assez difficile à trouver d’après ce que l’on me rapporte), le Samsung Omnia 7, le LG Optimus 7 et le HTC 7 Mozart.

C’est ce dernier, le HTC 7 Mozart, que j’ai en ma possession en prêt pour un test longue durée, et qui m’a permis de découvrir Windows Phone 7 dans un usage au quotidien. Microsoft ne communique pas beaucoup sur les ventes de Windows Phone 7 mais a quand même lâché un chiffre cette semaine, indiquant qu’un million et demie de smartphones sous son OS avaient été vendus aux différents opérateurs aux USA et en Europe en un mois et demie, ce qui fait une tendance de ventes de un million par mois (à condition bien sûr que tous les appareils aient été écoulés par les revendeurs). Un chiffre à rapprocher par exemple des ventes du premier iPhone, qui avait mis deux mois pour écouler son premier million.

Notez que, étant donné les contraintes drastiques de standardisation imposées par Microsoft aux constructeurs, leur laissant une marge de manœuvre quasiment nulle dans la conception de leurs mobiles équipés de son système d’exploitation, ce test est surtout un test de Windows Phone plutôt qu’un test du HTC Mozart, et pourrait s’appliquer de la même manière aux trois autres mobiles de la gamme.

Prise en main : nouveau, vraiment ?

Oui ! C’est la première remarque que l’on fait lorsque l’on prend en main le HTC Mozart : Windows Phone 7 est radicalement nouveau, non seulement par rapport aux précédentes générations de Windows Mobile, mais également en regard des autres systèmes d’exploitation mobiles. Vous le savez si vous lisez régulièrement Presse-citron, j’ai suivi la genèse et l’évolution de Windows Phone 7 depuis ses débuts puisque j’avais eu le privilège de prendre en main les premiers prototypes fonctionnels dès mars 2010, après leur présentation officielle au Mobile World Congress de Barcelone en février dernier.

Microsoft a refondu ses équipes , s’est mis en mode startup et est parti d’une feuille blanche pour créer l’interface de Windows Phone 7, en utilisant une méthode d’inspiration fondée autant sur l’observation de la concurrence que sur ses propres repères graphiques, et notamment… la signalétique urbaine. Le résultat est une interface radicalement innovante, qui privilégie la simplicité, et qui pour la première fois depuis longtemps ne propose pas de navigation dans les menus par icônes, mais via un système de « dalles » ou vignettes dynamiques regroupées sous six thèmes ou « hubs » transversaux : Contacts (incluant Facebook), Photos + caméra, Musique + vidéo, Office, Xbox Live et Market Place.

Les vignettes dynamiques affichent de petites animations qui vous signalent visuellement en temps réel les actions effectuées sur chacun des thèmes, comme par exemple lorsque l’un de vos amis vient de mettre à jour son statut Facebook. Une fonction qui rend la page d’accueil attractive et agréable à regarder. Une petite période d’adaptation sera nécessaire pour comprendre la logique des hubs et appréhender cette possibilité de naviguer « dans tous les sens », à savoir horizontalement comme on fait défiler des pages et verticalement quand on est dans un hub.

Écran et ergonomie : mieux que l’iPhone ?

Depuis que l’iPhone est sorti en juin 2007 et que j’ai reçu le mien des USA en août de la même année, il est devenu mon seul et unique smartphone. J’en suis aujourd’hui à mon quatrième exemplaire et malgré les dizaines de smartphones testés depuis, les pires comme les meilleurs (et notamment le haut de gamme Android, censé concurrencer frontalement le mobile d’Apple en faisant mieux que lui), de la façon la plus objective qui soit, le constat est à chaque fois le même : aucun n’arrive réellement au niveau de l’iPhone en termes de fluidité, réactivité, agrément et facilité d’utilisation. Bien sûr, de nombreux mobiles « font mieux » aujourd’hui, et notamment Android : plus de fonctions, plus ouverts, plus de ceci, plus de cela… Mais côté agrément d’utilisation, même celui que je considère comme le meilleur, à savoir le Samsung Galaxy S, ne procure pas ce sentiment unique, cette forme de « sensualité » qui est l’apanage de l’iPhone. Tout cela pour dire que l’iPhone est pour moi la référence absolue en terme de mobile, l’étalon-or auquel tout autre smartphone doit être confronté. Ce qui est presque pénible d’ailleurs, car avec l’iPhone j’avais acquis peu à peu le sentiment assez déplaisant qu’on était arrivé au bout de quelque-chose, à une sorte de perfection indépassable : un standard après lequel les autres s’épuiseraient à courir sans jamais l’atteindre. Un peu comme le record du monde du 100 mètres établi aux Jeux Olympiques de 1968 et qui fut seulement battu trente ans plus tard après avoir usé des générations de challengers. Or s’il y a quelque-chose que je n’aime pas en matière de technologie, c’est ce sentiment désagréable d’être blasé, et qu’on ne fera jamais mieux.

Et bien justement, le HTC 7 Mosart, et les smartphones Windows Phone 7 sont les premiers smartphones à avoir de nouveau déclenché chez moi un effet WOW que je n’avais pas connu depuis… juin 2007. Ceci est loin d’être anodin. Cela signifie que l’on peut encore innover et surprendre en matière d’interface mobile. Et pas surprendre pour surprendre (ça c’est facile), mais surprendre agréablement et efficacement.

Et cela pour plusieurs raisons. Tout d’abord le graphisme lui-même : oubliées les alignements d’icônes statiques un peu trop vues depuis quelques années. Les grosses vignettes de Windows Phone 7 sont une incitation au clic, vous savez ce clic ludique et pas forcément utile que vous faites juste pour le plaisir de faire bouger les trucs sur l’écran. C’est important, ce côté ludique mine de rien, ça réveille l’enfant qui est en nous et c’est certainement un élément-clé du succès immédiat de l’iPhone. Ensuite, toujours côté graphisme, il y a tout simplement la beauté de l’interface. Là les designers de Microsoft se sont lâchés et ils ont fait très fort. Vous me direz qu’il s’agit d’une question de goût et d’appréciation personnelle, et j’en conviens, mais alors disons que je trouve l’interface Windows Phone 7 d’une beauté à couper le souffle : le défilement horizontal des hubs est un pur bonheur, tout est léché, des fonds noirs à la typographie, et c’est de plus chaque fois une surprise de naviguer dans les menus, et notamment le Market Place car le fond d’écran change de façon aléatoire en fonction des thèmes mis en avant.

Enfin, toujours dans l’interface, Microsoft a réussi là où tous ceux qui ont essayé de concurrencer (ou imiter) l’iPhone ont échoué : la sensibilité, la fluidité et la réactivité de l’écran tactile. C’est le premier mobile qui me donne la sensation qu’on est arrivé à faire aussi bien, sinon mieux que l’iPhone : la fluidité et « l’intellgence » du défilement des menus comme du lancement des applications créent un nouveau standard. Beau ET efficace.

L’écran de mon HTC Mozart est un 3.7 pouces proposant une résolution de 480 x 800 WVGA. Par comparaison, le Samsung Omnia 7 propose un écran de 4 pouces et le HTC HD7 une dalle géante de 4,3 pouces qui le classerait presque dans la catégorie des petites tablettes. Ces choix ne sont pas anodins et pourraient à mon avis se révéler déterminants pour la suite de l’évolution du marché des smartphones. En effet, après avoir joué un long moment avec le HTC HD7, lorsque j’ai repris mon iPhone, non seulement j’ai trouvé que son interface avait pris un coup de vieux, mais j’ai surtout ressenti une désagréable impression d’exigüité. L’iPhone, avec son écran de 3,5 pouces, commence à dater un peu, et on se sent à l’étroit après avoir manipulé un grand écran comme celui du HD7, ou l’espace permet de respirer en offrant un confort visuel inégalé. Si j’étais Steve Jobs, je me pencherais sérieusement sur la question : je pense que l’avenir des smartphones passe par des écrans d’au moins 4 pouces (cf Galaxy S Android également) et les mobiles plus petits risquent bien d’être assez rapidement obsolètes.

Notez enfin que sur les trois smartphones Windows Phone 7 que j’ai eu l’occasion d’avoir en main, c’est le Samsung Omnia 7 qui possède de loin le plus bel écran, avec une définition et un rendu des couleurs absolument magnifiques, parfaitement servis par une gestion du noir et des contrastes qui le mettent au niveau d’un iPhone 4. La profondeur du noir est telle qu’il est quasiment impossible de différencier l’écran de sa bordure, alors que le même fond sur le Mozart apparaît comme gris foncé à côté.

Navigateur web

Bon là ok ça se gâte un peu. Rien de bien rédhibitoire, loin de là cependant. Microsoft a fait de gros efforts pour améliorer son navigateur Internet Explorer mobile, et cela se voit. La version installée sur Windows Phone 7 n’a plus rien à voir avec les précédentes et c’est heureux. En fait, pour l’utilisateur lambda, il n’y a pratiquement pas de différence visible avec un Safari Mobile sur iPhone ou un Chrome Mobile sur Android. L’essentiel est là : zoom sur une section de page avec un double-tap ou en pinçant pour zoomer avec deux doigts, défilement vertical (scroll) des pages très fluide, affichage conforme à l’affichage des sites sur un PC  de bureau, basculement automatique de l’écran selon l’inclinaison, etc. Mais pour l’utilisateur un peu plus exigeant, le navigateur web de Windows Phone 7 montre encore quelques limites et défauts agaçants, notamment dans le fait qu’il n’est pas compatible avec certaines fonctions avancées (Ajax) ni avec le HTML5. Espérons qu’une mise à jour permettra d’avoir enfin un browser aussi performant que celui de la concurrence (rappelons que même BlackBerry s’y est mis et propose maintenant un très bon navigateur web sur le Torch avec BlackBerry OS 6.0). Ou qu’il sera possible d’installer un navigateur tiers comme Opera Mobile ou autre. Un bon point cependant : l’affichage des pages web est très rapide, peut-être plus rapide que chez la concurrence.

Email

Le client mail est l’avenant du reste : superbe et très facile à utiliser. Si vous avez un compte Gmail IMAP, il vous suffit se saisir vos identifiants pour récupérer l’intégralité de vos dossiers et autres libellés, de la même manière que sur un Android ou un iPhone. Ensuite, gérer vos mails est une partie de plaisir : c’est joli et ça va vite, notamment grâce à la fonction de tri qui classe le courrier en quatre catégories : Tous, Non lus, Avec indicateur et Urgent.

Applications

Nous l’avons vu hier, le Market Place Windows Phone grandit bien, avec plus de quatre-mille cinq cent applications disponibles à ce jour. Plusieurs apps sont installées d’origine son modèle de test fourni par Orange, et parmi elles TV Orange, Ligue 1 foot, mais aussi, côté Microsoft, Xbox Live, calendrier, Markeplace, Contacts, Cartes (Bing Maps), Alarmes (le Mozart porte bien son nom en proposant un choix de plus de cent sonneries très musicales). A noter aussi, la présence d’origine d’un tuner FM, très bonne initiative. De mon côté, je suis allé un peu fouiner sur le Market Place pour essayer de retrouver mes applications favorites, les incontournables que j’utilise au quotidien sur mon iPhone, mais aussi sur Android ou BlackBerry Torch. En faisant mon marché, j’ai donc trouvé :

• Adobe Reader
• Allociné
• un convertisseur de mesures
• Deezer
• Facebook
• Foursquare
• Google Search
• Le Figaro
• Niveau (pour les bricoleurs)
• Notes
• Ouï FM
• PagesJaunes
• Shazam
• Twitter
• WordPress
• YouTube

Soit de quoi déjà s’occuper un peu, avec des applications généralement très bien conçues, qui n’ont rien à envier à leurs cousines pour iPhone, et qui sont même pour certaines encore plus agréables à utiliser. Cela étant je suis surpris de constater que même si environ soixante-dix applications nouvelles arrivent chaque jour sur le Marketplace, les grands titres, ceux qui font que pour le moment je ne peux pas me séparer de mon iPhone, ne se sont pas encore précipités pour proposer leur version Windows Phone 7. Ainsi, si Shazam et Deezer sont là, Spotify n’est pas encore disponible et c’est décisif pour moi. De même pour le presse et les médias : pas encore de New York Times, ni Le Point, ni Libé, ni Le Monde, pas de TV Free comme pour iPhone par exemple (https://tv.freeebox.fr/iphone), pas de TF1 Player, de Canal+ ni de M6. Bien sûr je sais que certains travaillent d’arrache-pied pour proposer rapidement leur application, mais on aimerait un peu plus de réactivité pour envisager sérieusement de basculer sur Windows Phone 7.

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Appareil-photo

C’est certainement l’un des rares secteurs dans lesquels les constructeurs disposent d’une certaine latitude. Ainsi le HTC Mozart est-il doté d’un capteur de 8 megapixels (mais pas de caméra en façade donc pas de visio) qui permet de faire de très bonnes photos avec Auto focus et  flash au Xenon ainsi que des vidéos HD 720p. Voir ci-dessous quelques photos et une vidéo prises avec le HTC Mozart, non retouchées (juste redimensionnées).

(photos et vidéo à venir, en cours de traitement)

Navigation

Windows Phone 7 propose en série une application de cartographie Bing Maps. Bien que beaucoup moins complète et évoluée que Google Maps, celle-ci offre l’avantage d’être très fluide, couplée à la puce GPS de l’appareil qui semble très sensible et réactive. De plus les effets visuels sur l’application Cartes sont encore une fois bluffants, avec une sorte d’animation en fondu enchaîné et flou progressif qui démasque les cartes au fil de leur chargement plutôt que le damier assez inesthétique connue sur iPhone ou Android. Superbe réalisation, on attend maintenant toutes les fonctions qui manquent à l’appel( street view…).

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Synchronisation des données

C’est le gros point noir de Windows Phone 7, et une très mauvaise surprise pour ceux qui étaient des utilisateurs des versions précédentes. Le célèbre logiciel de synchronisation ActiveSync a purement et simplement été abandonné et en l’état je suis désolé de vous dire que la synchronisation de votre smartphone avec Outlook n’est tout simplement plus possible. Pour les utilisateurs professionnels (notamment TPE et indépendants) qui étaient rompus à la gestion de leur organisation avec le duo smartphone Windows Mobile / Outlook sur PC via ActiveSync, c’est un coup dur. Cette aberration s’explique par le fait que Microsoft mise tout sur le cloud et incite ses utilisateurs à synchroniser et sauvegarder leurs données via Windows Live et éventuellement Exchange. Mais je crois que sur ce point Microsoft fait une grave erreur en allant trop vite. Le marché n’est pas près (allez parler du cloud à un médecin de campagne qui gère son agenda depuis des années sur Windows Mobile ou Palm et Outlook) et cette impossibilité de synchronisation entre PC et mobile est simplement discriminante et fera fuir beaucoup d’acheteurs potentiels. Bien sûr que la synchro à la volée des données via le réseau et un serveur distant est certainement une solution d’avenir, mais c’est prématuré. Un peu comme si les opérateurs TV avaient coupé le signal analogique il y a trois ans alors que la moitié de la population n’avait pas encore basculé sur la TNT. Cela étant il existe des solutions, que j’ai expliquées en détail ici : Synchroniser son agenda et ses contacts Outlook avec Windows Phone 7 mais ce n’est pas très facile à mettre en oeuvre, et cela ne résout que partiellement la question puisqu’il n’y a pas de synchronisation des tâches et des notes, vitales pour certains.

Téléphonie et réseau

Rien à dire de ce côté-là. L’activation du WiFi est d’une simplicité enfantine, les réseaux sont identifiés en quelques secondes et la connexion est immédiate. Pareil pour le réseau téléphonique, la 3G est bien gérée, et la qualité de réception et de communication est excellente.

Autonomie

Pas de grande surprise, l’autonomie de mon HTC Mozart est celle que l’on connait généralement sur un smartphone de cette catégorie, à savoir une grosse journée en usage « standard » à savoir quelques appels vocaux, du web, du mail, un peu de vidéo et de photo. Une autonomie qui semble se rapprocher fortement de celle de l’iPhone 4.

Audio

L’interface Zune, qui permet aussi de synchroniser ses musiques entre le mobile et son PC est elle aussi superbe et très agréable à utiliser, tout en étant plus simple et intuitive qu’iTunes. Voir à ce sujet comment transférer des musiques sur son Windows Phone sans passer par Zune et utiliser son smartphone Windows Phone 7 comme clé USB.

Le son quant à lui est de bonne facture, à mi-chemin entre iPhone 4 et iPad (donc meilleur qu’iPhone 4).

Divers

La coque du Mozart est très bien finie et son design est plutôt réussi, rappelant un peu dans ses coloris (taupe) et ses matériaux un Nexus One. Toutes les commandes sont logiques et tombent sous la main sans recherche. Un très gros défaut de conception cependant : retirer la coque pour installer ou changer de carte SIM est un véritable tour de force, qui au mieux vous prendra plusieurs minute de bagarre acharnée avec l’appareil et au pire risque bien de provoquer une rupture de l’écran tant il faut appuyer (sans prise) sur le mobile pour faire glisser le capot. Je le sais pour en avoir parlé récemment avec quelqu’un à qui cette mésaventure est arrivée : bris de l’écran en changeant la carte SIM…

En conclusion

Vous l’aurez probablement compris : j’ai été séduit et je suis tombé sous le charme de Windows Phone 7. Si ce système d’exploitation me permettait de retrouver toutes les applications – professionnelles ou ludiques -  que j’utilise quotidiennement sur mon iPhone, je pense très sérieusement que je pourrais switcher et me séparer de mon iPhone, ce qui ne m’est pas arrivé depuis août 2007 (alors que je changeais de mobile tous les trois mois avant). Tout me plait sur cette plateforme, et j’ai pour le moment du mal à lui trouver des défauts, d’autant que l’on sait qu’une prochaine mise à jour (début 2011) va venir compléter et apporter ce qui manque encore (copier-coller, multitâche…), et que d’autres suivront rapidement. Reste la question de la synchronisation des données, qui ne me pose personnellement pas de problèmes particuliers car j’utilise déjà le cloud depuis pas mal de temps (Gmail, Google Calendar, Windows Live et autres…) mais qui est un repoussoir pour de nombreux clients potentiels. Si je (re)bascule chez Windows Phone, je pense que j’opterai pour un Samsung Omnia 7, qui offre le meilleur de cette plateforme avec son écran somptueux.

J’aime bien ça

• le design de l’interface
• les hubs
• la fluidité et la réactivité impressionnantes
• les vignettes animées
• le mail

J’aime pas trop beaucoup ça

• l’absence d’ActiveSync et de synchro « physique » avec Outlook
• le manque d’applications et un écosystème encore balbutiant

Tarifs du HTC 7 Mozart chez Orange

De 69 à 279 euros selon le forfait choisi ou un achat nu hors forfait. Voir la page HTC Mozart sur Orange.

Voir le HTC Mozart sur le site HTC.

Voir la page Windows Phone 7 sur le site de Microsoft.

Caractéristiques techniques du HTC 7 Mozart

• Ecran capacitif super TFT 9 cm
• Camera 8 Mégapixels avec Flash Xenon
• Processeur 1Ghz
• Mémoire 8Go
• Son surround
• Vidéo HD
• Quadribande
• A-GPS
• WiFi / bluetooth
• Radio / Lecteur MP3
• dimensions (hauteur x largeur x profondeur en mm) : 119 x 60 x 11
• poids : 130g
• autonomie maximale en communication : 6h45
• maximale en veille : 360h
• téléphone mobile livré avec batterie, cable USB, chargeur, kit main libre, Manuel, SIM

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Article original écrit par Eric et publié sur Presse-Citron, le 23/12/2010. | Lien direct vers cet article | © Presse-citron.net - 2010
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Authors: Eric

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