LVMH fait condamner eBay
Le site de vente en ligne eBay a été condamné le 31 novembre 2009 par le tribunal de commerce de Paris à verser 1,7 Million d’euros au groupe LVMH. (Essentiel 1-12-09)
Restos du Cœur, 25 ans déjà
Les restos du cœur créés par Coluche ont distribué en 2008 100 millions de repas à 800 000 personnes. La cour des comptes a salué la gestion remarquable de cette œuvre caritative. . (Essentiel 1-12-09)
40 000 kms autour du monde
Un jeune couple a parcouru le monde par des petites routes de campagne à bord d’une camionnette Citroën, l’Asie du sud est, Cambodge, Vietnam, une traversée en bateau et c’est le chili, l’Uruguay, l’Argentine. Ils furent conquis par la gentillesse des gens dépourvus de tout matérialisme. . (Essentiel 1-12-09)
Prime aux diplômés en Lorraine
Une allocation de 900 à 1100 euros pour les diplômés du secteur sanitaire et social offert par
Investissement chez SES
L’opérateur de satellites luxembourgeois a investi 500 millions chez EADS afin d’améliorer et d’augmenter les capacités de transmission au dessus des iles britanniques et de l’Europe de l’est durant 15 ans, dès 2012. (Essentiel 1-12-09)
Rencontre d’eau douce et salée.
Mise à profit de la réaction obtenue en mélangeant eau douce et eau salée en Norvège afin de produire un volume d’électricité prévisible et stable quelle que soit la météo. Cette nouveauté s’ajoute aux énergies renouvelables tels que le vent, le soleil, les courants et les marées. (Essentiel 1-12-09)
Luxembourg
Vie pratique
Le Luxembourg manque de sel
Le sel manque en cette période de froid de neige et de verglas. Samedi la circulation était complètement bloquée à Ettelbruck vers Feulen. Les services de voiries sont obligés d'économiser leurs réserves en saupoudrant les routes, principalement les grands axes. Parfois, ils sont amenés à couper le sel avec du sable. Le verglas s'installe semant un véritable chaos routier. 18 accidents, en majorité de petits dégâts ont été recensés samedi dans la nuit. La prudence est de rigueur sur la route pour les jours à venir.
L'Essentiel, 01/02/10
Société
Des débuts timides pour le contrat jeune
Luxembourg- Le gouvernement a mis en place un nouveau contrat jeune appelé «le contrat d'initiation à l'emploi- expérience pratique» ( CIE-EP) afin de lutter contre le chômage des jeunes.
Le ministre du Travail, Nicolas Schmit a mobilisé les entreprises pour offrir aux jeunes un contrat aidé. 800 d'entre eux pourraient être bénéficiaires de ce nouveau contrat. Lancé depuis deux mois, 50 jeunes l'ont signé pour une durée de douze mois en moyenne. Ils gagnent 100% à 150% du salaire social minimum, dont 70% sont subventionnés par l'État. 300 jeunes intéressés se sont inscrit sur Anelo. La majorité d'entre eux sont diplômés en bachelor ou master. 118 entreprises ont fait des offres, une banque à embauché une dizaine de jeunes. Côté ministère on note une disparité entre diplômes et postes proposés, certains sont difficiles à caser mais l'intérêt des jeunes ne cesse de croitre. Ils pourront signer jusqu'au 31 décembre.
L'Essentiel, 01/02/10
Une aide pour trouver la nounou de vos enfants
Luxembourg- Pascale Haine recrute des nounous. Elle se présente comme l'intermédiaire entre les familles souvent pressées, et les nourices. A la tête de Family Recruitement, une mère de famille consciente des difficultés à trouver des personnes adéquates pour faire garder ses enfants. «C'est comme les chasseurs de têtes, mais pour des nounous», résume-t-elle. Son initiative a été saluée par le ministère de l'Égalité des chances, et côté Adem, l'écho est très favorable. «Je passe de longs entretiens avec les candidats. Je jauge leur dynamisme, leur créativité, leur esprit d'initiative, leurs notions de sécurité et d'hygiène», «mon rôle, c'est de faire gagner du temps aux parents». Pascale Haine se déplace pour rencontrer la famille à domicile. Si besoin, en dehors des heures de travail, les weekend etc.
Pascale Haine: 621 47 60 43
mail: Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
L'Essentiel, 01/02/10
Union Européenne
Assurance incendie obligatoire en Belgique?
Belgique- Le ministre Didier Reynders et le député Olivier Hamal ont annoncés leur volonté de rendre l'assurance incendie obligatoire. Paul Furlan, (PS), ministre wallon des Affaires intérieures est également en faveur de cette proposition. Il a ajouté son souhait qu'une partie du produit de cette assurance soit versée aux services incendie.
www.lesoir.be, 01/02/10
Lorraine
"A l'avant garde"
Impression et Services, dont le siège est à Herblay, a repris Serica, implanté Velaine en Haye, il y a un peu plus de six mois et annonce une progression du chiffre d'affaires de 200 000 € à 950 000 €. A la direction générale de l'entreprise de sérigraphie : Mme Renate Hosp qui affirme "les salariés et le produit sont bien les deux plus values de l'entreprise..." Serica services a développé un partenariat 50/50 avec Hewlett-Packard. Une filiale sera créée à Munich. La réembauche de licenciés de Sérica et d'ex-Kléber est envisagée. SCHOENSTEIN Martine
Est Républicain (L') , 31 janvier 2010 .
Le sel au compte-gouttes
Suite aux conditions climatiques hivernales particulièrement rigoureuses, l'approvisionnement en sel de déneigement est devenu difficile. Les Salins du Midi, principal producteur, ont épuisé leur stock de 400 000 tonnes, seule la production quotidienne des sites sont disponibles soit environ 15 000 t dont 4000 environ proviennent de la mine de Varangéville (54).
Est Républicain (L') , 30 janvier 2010 .
Il crée un groupe dédié à la construction écologique.
Créée en 2008 par François Pélissier, l'entreprise Eccologia, dont le siège social est basé à Villers-lès-Nancy, est aujourd'hui présente en Moselle et dans les Vosges.
Moniteur des TP (Le) , n°5540, p.17 , 28 janvier 2010 .
Nous avons tous déjà mangé de la viande halal ou casher
Cécilia Gabizon
23/02/2010 | Mise a jour : 08:02
Pour des raisons culturelles ou économiques, les musulmans et les juifs
Alors que certains s'offusquent de voir des restaurants Quick proposer uniquement de la nourriture halal, il semble que nous mangions déjà de la viande rituellement abattue sans même le savoir !
«Sur trois animaux abattus rituellement, c'est-à-dire sans étourdissement préalable, presque deux seront en fait consommés par l'ensemble des consommateurs, toutes confessions confondues», assure l'OABA (Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoirs), une association impliquée dans la filière depuis 1961. Pourquoi ? Car les musulmans n'apprécient pas tous les morceaux de bœuf ou d'agneau. Pour des raisons culturelles et économiques, ils préfèrent les abats et les pièces à bouillir. Résultat : pour obtenir la quantité des morceaux halal désirée, bien plus de bêtes sont tuées que celles qui sont consommées par des musulmans. «Les filets et les entrecôtes, qui sont chers, sont donc souvent vendus dans le circuit classique», reconnaissent les professionnels. Dans la filière casher, plus restreinte, l'arrière des animaux n'est pas consommé. Seule une bête sur quatre abattues selon le rite juif serait finalement vendue dans le circuit casher.
Dès 2005, le Coperci (Comité permanent de coordination des inspections, qui regroupe l'inspection générale de l'administration, l'inspection générale de l'agriculture et le conseil général vétérinaire) soulignait la «part non négligeable» des animaux égorgés selon le rite musulman ou juif «vendue dans le circuit classique sans mention particulière». Le rapport ne fut jamais rendu public. Le sujet reste sensible. Les producteurs de viande comme les industriels craignent « de voir les clients se détourner d'une viande abattue rituellement, reconnaît-on à la Fédération nationale de l'industrie et du commerce en gros des viandes (FNICGV), alors qu'elle présente exactement les mêmes qualités alimentaires et gustatives que les autres. Seule la méthode d'abattage diffère» .
Débat européen
En 2008, la Direction générale de l'alimentation estimait que 12 % des bovins et 49 % des ovins étaient tués rituellement. Alors que les pratiquants musulmans et juifs ne représentent au plus que 7 % de la population française. «Le nombre d'animaux abattus selon un rituel religieux dépasse très largement les besoins intérieurs des minorités religieuses concernées», a d'ailleurs conclu une enquête de la Commission européenne .
En clair, l'abattage sans étourdissement préalable est généralisé dans certains abattoirs. Car il ouvre plus de marchés : celui des religieux, que ce soit casher ou halal, et celui «classique» où cette viande est écoulée sans étiquette particulière, «sans parfois même que les détaillants soient informés», selon l'OABA . Le goût ne différerait pas, même si souvent les meilleures races, vendues sous label, restent, elles, dans les boucheries traditionnelles.
Ignorée du grand public, la présence de viande halal et casher dans le circuit classique fait l'objet d'un débat au niveau européen, au nom du bien-être animal. Une directive européenne impose l'étourdissement avant l'abattage et n'accorde qu'une dérogation aux cultes. La France, qui rassemble les plus importantes communautés musulmane et juive d'Europe, a plaidé avec succès pour préserver l'abattage rituel.
Mais la polémique a rebondi en 2009. Les Autrichiens ont établi une norme halal nationale et souhaiteraient qu'elle soit généralisée dans l'UE. Elle proscrit la mort sans étourdissement. Tandis que des députés européens insistent pour que les produits soient étiquetés, afin que les consommateurs sachent ce qu'ils achètent. Certains ne souhaitent pas manger un animal tué rituellement et craignent de financer à leur insu les cultes. Pour la viande casher, la confusion n'est pas possible, puisque la taxe religieuse est versée en bout de chaîne, par le consommateur qui achète labellisé. Dans le cas du halal, les abattoirs rémunèrent des sacrificateurs musulmans, agréés auprès de trois mosquées. Ceux-ci ne reversent aucun pourcentage à ces structures, mais acquittent une cotisation pour leur carte professionnelle. « On ne peut pas dire que le halal finance le culte», assure Mohammed Moussaoui, le président du Conseil français du culte musulman.
Les pays de l'UE doivent décider s'ils souhaitent une norme générale halal, auxquels les fabricants pourraient adhérer. Les religieux, juifs ou musulmans, refusent l'étourdissement préalable et assurent qu'il n'abolit pas la souffrance de l'animal. Ils redoutent également que l'étiquetage spécifique «ne stigmatise» les communautés concernées.
L'Afnor (Association française de normalisation), chargée d'organiser la consultation en France, a déjà voté contre la mise en route d'une norme européenne. Mais la discussion se poursuit à Bruxelles.
Source: https://www.lessentiel.lu/news/luxembourg/story/10727803
LUXEMBOURG - L'an passé, le luxembourgeois était qualifié de langue «vulnérable» dans
l'Atlas de l'Unesco des langues. La classification a déclenché un débat important.
Depuis, le nombre de locuteurs a été revu. Ainsi, 390 000 personnes parlent le
luxembourgeois et non 300 000. Un chiffre qui se rapproche de celui du laboratoire de
linguistique de l'Uni qui estime leur nombre à 400 000.
Source: https://www.lessentiel.lu/news/luxembourg/story/11966871
LUXEMBOURG - Selon un sondage TNS Ilres, 49% de la population luxembourgeoise sont opposés au prêt de la Gëlle Fra à l'exposition universelle de Shanghai.
Si elle voulait un témoignage de sympathie, la statue en or peut être satisfaite : ce qui
n'apparaissait que comme le simple voyage d'un monument luxembourgeois vers la Chine est
devenu quasiment une affaire nationale. Selon un sondage réalisé par TNS Ilres depuis
l'annonce de la nouvelle, lundi, seulement 39% des Luxembourgeois trouvent que c'est une
bonne idée. Au contraire, ils sont 49% à penser que la statue, symbole de liberté et de
la résistance du peuple luxembourgeois doit rester perchée sur son obélisque de 21
mètres, Place de la Constitution.
Un monument national doit rester sur son sol, c'est une des raisons invoquées par les
opposants interrogées. Le coût et le risque d'endommagement sont aussi avancés. Et quand
on leur dit que cela ne va rien coûter aux contribuables luxembourgeois, ils sont tout de
même 92% à camper sur leurs positions.
Du côté des personnes favorables, on perçoit ça comme un geste authentique et on
considère la Gëlle Fra comme la messagère de l'histoire et la culture luxembourgeoise.
Pas un sou des contribuables luxembourgeois
Lundi, le commissaire général gouvernemental pour l'exposition universelle avait annoncé
le départ de la statue-symbole du 1er mai au 31 octobre. La Gëlle Fra sera transportée
gratuitement dans un caisson spécial par Cargolux et sera hissée sur un socle de trois
mètres à l'entrée du pavillon luxembourgeois de l'exposition. «La France va envoyer des
toiles de maîtres, l'Italie des fresque romaines, nous avons décidé d'envoyer la statue
pour accroître l'activité du pavillon luxembourgeois à Shanghai» avait expliqué Robert
Goebbels.
Retour prévu en novembre avant un dernier toilettage -la Gëlle Fra n'a pas été restaurée
depuis 1984 et son inauguration après sa redécouverte- pour une remise en place avant a
fin de l'année. La statue est considérée comme le symbole de la résistance des
Luxembourgeois aux côtés des Français et des Belges durant la Première Guerre mondiale.
Créée par Claus Cito, la «Golden Lady of Luxembourg» avait été enlevée par les nazis car
jugée trop francophile. Elle avait ensuite disparue jusqu'à sa redécouverte en 1981 sous
les gradins du stade Josy Barthel. Et son inauguration Place de la Constitution en 1984.
MC/lessentiel.lu
"Téléphonie mobile : la France devrait être couverte en 3G d'ici fin 2013"
LE MONDE | 24.02.10 | 20:41
Les trois opérateurs de téléphonie mobile ont signé un accord cadre de partage
d'installations de réseau de téléphonie mobile 3G, a annoncé mercredi l'Autorité de
régulation des télécommunications.
"L'Autorité de la publicité demande l'arrêt d'une campagne antitabac"
LE MONDE | 24.02.10 | 21:38
La campagne met en scène, sur trois photos, de jeunes fumeurs à genoux devant un adulte,
dans une position à connotation clairement sexuelle, accompagnée du slogan : "Fumer,
c'est être l'esclave du tabac
Source: https://www.lessentiel.lu/news/luxembourg/story/25923718
LUXEMBOURG - Pour la première fois depuis huit ans, le nombre de Luxembourgeois a augmenté dans la capitale.
Même si les étrangers restent majoritaires à près de 65%.
Au 31 décembre 2009, la Ville comptait 32 220 Luxembourgeois contre 31 194 en 2008. Une
inversion de la tendance après huit années de baisse de la composante luxembourgeoise de
la ville cosmopolite. Ils sont plus nombreux mais ne représentent toujours qu'un peu plus
d'un tiers d'une population qui a crû de 2000 personnes l'année dernière. Partout, les
étrangers sont majoritaires, notamment à la Gare où ils représentent 81% de la
population. Les Portugais représentent la première nationalité étrangère (15%) devant les
Français et les Italiens.
Seuls les quartiers du Cents, de Hamm et de Cessange sont majoritairement luxembourgeois.
Lors du City Breakfast organisé mardi, le bourgmestre de Luxembourg, Paul Helminger,
s'est félicité de l'augmentation du nombre de Luxembourgeois. Mais a souligné que le défi
pour la Ville était toujours d'intégrer au mieux une population en constant mouvement: 12
000 arrivées, 9 000 départs et 7 000 déménagements à l'intérieur même de la capitale ont
été comptabilisés en 2009.
Le bourgmestre, s'il salue le nombre croissant de Luxembourgeois qui s'inscrivent sur les
listes électorales (339 en 2009), invitent surtout les politiques à accroitre leurs
efforts pour inviter les étrangers à faire de même. Ils ont été 223 de moins à faire la
démarche en 2009 mais leur nombre a toutefois doublé depuis les dernières élections
communales en 2005. Un effort nécessaire «parce que 35% de la population ne peut pas
décider de l'avenir de toute la ville».
MC et SB/lessentiel.lu
Source: https://www.lessentiel.lu/news/economie/story/15132345
LUXEMBOURG - Le chômage a encore augmenté en janvier au Luxembourg pour atteindre 6,4 %.
C'est la première fois que le nombre de demandeurs d'emploi dépassent les 15 000, à 15
137 personnes.
Cela fait 321 personnes de plus en un mois et 2339 de plus en un an.
Pourtant, le ministre du Travail, Nicolas Schmit, voit des signes d'amélioration pour
l'emploi. «Le mois de janvier est traditionnellement un mois de hausse du chômage. Et si
on compare avec le mois de janvier 2009, à l'époque le nombre de chômeur avait augmenté
de presque 1300 personnes en un mois». Si on élimine les variations saisonnières du
chômage, celui-ci s'est à peu près stabilisé en janvier.
Autre point positif, l'évolution de l'emploi dans le secteur financier. Au dernier
trimestre 2009, la place a perdu 77 emplois. C'est dix fois moins qu'au trimestre
précédent. «Il y a eu des plan sociaux donc des licenciements mais cela veut aussi dire
que le secteur financier recrute toujours», poursuit le ministre du Travail.
Du côté du chômage partiel aussi, les chiffres dénotent d'une légère amélioration. Le
nombre de demande de chômage partiel baisse à 116. Et 105 ont été accepté. «C'est le plus
bas niveau depuis mars 2009», souligne Jeannot Krecké, ministre de l'Economie.
Mais pas de triomphalisme pour autant. «Nous ne disons pas que nous sommes sortis de la
crise et nous devons continuer la politique de gestion de crise», précise Jeannot Krecké,
«nous savons que nous en sortirons mais il n'est pas encore possible de dire quand».
Linda Cortey
Source: https://www.lessentiel.lu/news/grande_region/story/19744755
METZ - Un incident électrique dans un transformateur de Saint-Julien-lès-Metz a privé
d'électricité de nombreuses communes du sillon mosellan durant 45 minutes mardi soir.
C'est le site tout-metz.com qui révèle l'information: certains habitants de Moselle ont
été plongése dans le noir durant trois bons quarts d'heure. L'ensemble des installations
ont été privées d'électricité. Feux rouges, éclairages publics, plus rien ne fonctionnait.
L'UEM qui produit et distribue l'électricité à Metz a indiqué que la source du problème
venait d'un incident dans un transformateur à Saint-Julien-lès-Metz. Avec des
conséquences différentes selon les communes puisque par exemple celles autour de Metz ne
se sont aperçues de rien alors que celles d'Hagondange ou encore Amnéville ont du prendre
leur mal en patience.
lessentiel.lu
La crise, et après : quelles voitures pour demain ?
Philippe Doucet
18/02/2010 | Mise a jour : 19:14
Remise en question du tout-électrique, diesel à la baisse, essence à la hausse,
Pauvres constructeurs de voitures ! Les récentes pertes enregistrées par Renault et PSA témoignent de la difficulté de gagner sa vie aujourd'hui dans l'automobile. «Avec des remises de près de 2 000 € sur des petits modèles, le prix de transaction d'un véhicule est déconnecté de la réalité. Nous sommes entrés dans une spirale extrêmement dangereuse», s'inquiète Jean-Luc Gérard, le directeur général de Ford France et tout nouveau président de la branche «voitures particulières» de la Chambre syndicale internationale de l'automobile et du motocycle (Csiam).
À qui la faute ? À la crise, certes, mais pas seulement. Depuis la fin de 2006, le système de bonus-malus a tordu le cou au marché en favorisant les petits moteurs à essence et le diesel, moins émetteurs de CO2. La prime à la casse a en 2009 accentué la cadence. Toutes aides cumulées, y compris celles des constructeurs, qui ont souvent ajouté un «petit quelque chose» - on a même vu un modèle tomber sous la barre des 5 000 € (Chevrolet Matiz), le prix d'un bon scooter !
Question : peut-on assurer son existence dans de telles conditions ? Un douloureux effet de ciseau guette les constructeurs. Si l'augmentation des ventes de petits modèles, sur lesquels les marges sont faibles, voire inexistantes, compromet leur profit immédiat, elle menace aussi l'entretien de leurs réseaux de vente ainsi que leur effort de recherche et développement. Pour, de surcroît, un faible gain social : sur un marché ayant progressé de plus de 10 % en 2009, à peine plus d'un quart des modèles français ont été assemblés sur le territoire national.
L'absence d'harmonie de la réglementation européenne complique encore les choses. L'Union ne compte en effet pas moins de six différents systèmes de bonus-malus, ce qui signifie que les caractéristiques de chaque voiture doivent être ajustées en fonction de l'endroit où elle va être vendue. La variété de ces mécanismes d'aides ou de sanction en dit long, par ailleurs, sur l'appréciation des seuils de CO2 : pollueurs en deçà du Rhin, vertueux au-delà, à moins que ça ne soit l'inverse.
Les constructeurs portent une large part de responsabilité dans ces dispositifs antipollution pas forcément désintéressés - partout, les occasions de nouvelles taxes ne sont pas si fréquentes. On n'a guère entendu le milieu automobile lors du Grenelle de l'environnement ou, en janvier 2009, pendant les États généraux de l'automobile. Il est vrai qu'il se présentait alors la sébile à la main. Les constructeurs étrangers, via la Csiam, ont décidé de rompre cet assourdissant silence. Leur première cible est la voiture électrique. « Il faut arrêter de la présenter comme la panacée. Son coût la réserve à une minorité, elle ne doit pas menacer un moyen de transport qui assure une incomparable facilité de déplacement», tranche Jean-Luc Gérard. Mais la technocratie écolo-fiscaliste veille au grain : en assignant, par exemple, un proche et irréalisable objectif de 60 g de rejet de CO2 par kilomètre au moteur classique, elle lui met un boulet à la jambe.
Le jeu de massacre se poursuit avec le si populaire diesel. Grande spécialité de PSA et de Volkswagen, cette technologie, favorisée par le bonus-malus, se révèle en fait redoutablement polluante, sauf si elle est équipée d'un filtre à particules «dont personne ne veut s'il est en option», à en croire les constructeurs. Déjà moitié plus cher à produire qu'un moteur à essence, la norme Euro 6, en vigueur en 2012, pourrait bien le mettre hors-jeu avec une dépollution gazole devenue hors de prix. Nouvelle chance pour l'essence ?
Mercenaires du Web
Si le diesel avait marqué des points dans le domaine du C02 au début des années 2000 avec les systèmes d'alimentation par «rampe commune», l'essence prend aujourd'hui sa revanche (notre graphique). Mais la partie est loin d'être gagnée. Avec près des trois quarts des ventes, le diesel a investi les foyers. Pour l'en faire sortir, Bercy devra permettre un différentiel de prix entre l'essence et le gazole le plus faible possible. Et l'automobiliste, de son côté, devra montrer plus de lucidité sur ses besoins réels. Dans la plupart des cas, baisse du kilométrage annuel oblige, le diesel ne se justifie pas.
C'est précisément le rôle du concessionnaire de lui expliquer où se trouve son intérêt. Pas de chance, il est lui aussi malmené. L'automobiliste est devenu un mercenaire du Web et n'hésite plus à parcourir des kilomètres pour économiser quelques euros sur sa facture d'entretien. La fidélité à son garagiste est un souvenir. La distribution automobile doit se renouveler si elle veut survivre : vaste chantier.
Mais la balle revient in fine dans le camp des constructeurs. Avec un taux de bimotorisation ayant doublé en trente ans (30,5 % des ménages en 2008 contre 14,8 en 1980), ils pronostiquent une spécialisation de l'usage de l'automobile, ce qui leur permettrait de multiplier les modèles à partir d'une même plate-forme. Tendance qui n'a pas échappé à Citroën avec sa DS3, certainement plus craquante pour madame que sa sœur C3. En attendant, ils devront compter un peu plus sur eux-mêmes et moins sur les deniers du contribuable. Les aides publiques finissent par avoir un prix : la perte de vue des véritables exigences du marché.
PagesJaunes est installé sur 60 % des iPhone
Marie-Cécile Renault
20/02/2010 | Mise a jour : 22:10
L'éditeur d'annuaires, qui devrait réaliser 50 % de son activité sur Internet en 2010,
Comment compenser sur Internet le recul des annuaires papiers traditionnels ? Tel est le pari auquel est confronté PagesJaunes, ex-filiale de France Télécom rachetée en 2006 par Mediannuaire (filiale du fonds KKR).
En 2009, le groupe a vu son chiffre d'affaires reculer de 2,4 % à 1,16 milliard d'euros. Si les annuaires imprimés, activité historique du groupe, ont baissé de 6,5 % à 577,8 millions, en revanche, les ventes en ligne ont progressé de 6,5 % en France (pagesjaunes.fr, mappy.fr...) à 472,2 millions. Résultat, PagesJaunes se classe numéro un européen par les revenus publicitaires sur Internet et numéro six mondial derrière les géants américains Google, Yahoo!, Microsoft, Time Warner et ATT.
Les activités Internet pèsent désormais 43 % du chiffre d'affaires dans l'Hexagone. «Nous basculerons courant 2010 au-dessus des 50 %», a annoncé Jean-Pierre Remy, nouveau directeur général du groupe. Le groupe a marqué «une accélération de la stratégie Internet en 2009 qui portera encore plus sur 2010», ce «qui permet d'avoir une bonne résistance commerciale», a-t-il indiqué. Les renseignements téléphoniques (118 008) sont également en hausse, de 9,1 %, à 39,7 millions.
Publicité sur les mobiles
Le téléphone mobile pourrait être le nouveau tremplin du groupe alors que PagesJaunes réalise désormais 5 % de son audience sur les mobiles, avec un rythme de croissance «plus rapide que ce qu'on avait imaginé initialement» et des taux de progression de 150 à 200 % en fin d'année 2009, dépassant les 10 millions de visites.
L'application iPhone lancée fin 2008 par PagesJaunes a été téléchargée 1,8 million de fois et équipe donc désormais 60 % du parc d'iPhones en France, a souligné le groupe.
L'application, gratuite, qui permet de chercher des coordonnées de professionnels et de particuliers, existe aussi pour les mobiles Nokia ou fonctionnant sous Android, le système d'exploitation de Google. Mais 70 % du trafic est généré par l'iPhone, où elle est une des trois applications les plus téléchargées en France, selon PagesJaunes. L'application de son site d'itinéraires routiers mappy.fr a également été téléchargée environ 500 000 fois.
En conséquence, le groupe, qui pour l'instant ne tire pas de chiffre d'affaires significatif sur ce segment, proposera à ses annonceurs publicitaires une offre commerciale spécifique aux mobiles à partir d'avril.
L'industrie française a perdu 36% de ses effectifs en 30 ans
Marie Visot
20/02/2010 | Mise a jour : 22:03
En cause : une hausse de l'externalisation, les progrès techniques
On est encore loin d'une France sans usine... mais on s'en rapproche. Un document de travail que la Direction générale du Trésor vient de publier montre qu'entre 1980 et 2007 la contribution de l'industrie à la richesse nationale est passée de 24 % à 14 %. «Un recul significatif », souligne l'étude, dans un bel euphémisme. L'Hexagone est ainsi passé d'une économie héritière d'une tradition industrielle à une économie principalement de services.
Sur cette période, l'industrie a perdu 1 913 500 emplois (tombant à 3 414 000). Soit une baisse de 36 % de ses effectifs. «La majorité de ces pertes d'emplois a eu lieu dans l'industrie manufacturière (96 %) », précise l'étude. Et s'il y a eu des périodes où les destructions ont ralenti (au milieu des années 1980 et au milieu des années 1990), cela n'a «pas suffi à inverser la tendance». Les services marchands ont suivi une évolution inverse. Leur poids dans le PIB est passé de 45 % à 56 % en valeur et l'emploi au sein de ce secteur a augmenté de 53 %.
Pourquoi ce déclin de l'industrie et surtout de son emploi ? Première cause, la recherche d'une «plus grande efficacité » par les entreprises, qui s'est traduite par un recours croissant de l'externalisation (toujours sur le territoire) d'une partie des activités industrielles vers le secteur des services.
Ces transferts d'emplois représentent environ 25 % des pertes d'emplois industriels entre 1980 et 2007 - ils n'en expliqueraient plus que de 1 % à 5 % depuis 2000. Une partie de ces pertes est donc «artificielle», car elle «reflète un simple transfert d'emplois auparavant industriels vers les services, notamment d'intérim, sans véritable changement de leur contenu», souligne Lilas Demmou, l'auteur de l'étude. Néanmoins, l'ampleur des destructions réelles d'emplois reste «substantielle même lorsqu'on neutralise ce phénomène» - de l'ordre de 1,5 million d'emplois entre 1980 et 2007.
Deuxième explication : ce que l'étude appelle «la déformation de la structure de la demande qui a accompagné les gains de productivité». En d'autres termes, le progrès technique a réduit les besoins de main-d'œuvre. Et les gains de productivité réalisés dans l'ensemble de l'économie ont entraîné une augmentation du revenu qui se traduit par «une hausse de dépenses des ménages au profit des services et au détriment des biens industriels».
Délocalisations : moins de 20 % des emplois perdus
Les forts gains de productivité seraient à l'origine de près de 30 % des pertes d'emplois sur la période 1980-2007 et de 65 % depuis 2000, précise l'étude.
Enfin, le recul de l'emploi industriel en France tient à la concurrence étrangère. Celle-ci, «notamment en provenance des pays à bas salaires», se traduit par une baisse de production des entreprises françaises (baisse de parts de marchés, faillites, délocalisations...). Mais son «impact est difficile à quantifier» : l'ouverture internationale expliquerait entre 13 % 45 % des destructions d'emplois, selon les modes de calcul choisis. Une accélération est toutefois incontestable sur la dernière décennie, note l'étude. Sur ce total, les délocalisations n'expliqueraient que 10 % à 20 % des diminutions d'effectifs entre 1995 et 2001.
"La France face au risque de pénurie de carburant"
LE MONDE | 22.02.10 | 06:54
L'Union française des industrie pétrolières a dit que la France disposait de 10 à 20
jours de stocks de carburant disponible pour approvisionner les stations-service, sans
toutefois exclure des problèmes "minimes" ponctuels.
Yann Le Galès
20/02/2010 | Mise a jour : 23:41
INFOGRAPHIE - À trois semaines des élections, les patrons de TPE estiment
Les chefs d'entreprise de société de moins de 20 salariés, c'est-à-dire des très petites entreprises (TPE), portent un jugement sévère et pragmatique sur la politique économique des régions.
Selon le dernier baromètre de conjoncture des TPE Ifop-Fiducial, que Le Figaro publie à moins de trois semaines des élections régionales, 60% de ces entrepreneurs ont le sentiment de vivre dans une région qui connaît des difficultés: 40% estiment leur région en stagnation, 20% en déclin. Ils ne sont que 9% à affirmer que leur région est en «pleine expansion» et 31% «en développement».
«Les plus pessimistes se recrutent en Champagne, Picardie, Bourgogne, Normandie, Centre. Les plus positifs en Rhône-Alpes, Auvergne, Aquitaine, Limousin, explique Jean-Marc Jaumouillé, directeur des techniques professionnelles de Fiducial. Étrangement, il existe une forte corrélation entre la perception du dynamisme de leur région et la notoriété de leur président de région. Les présidents les moins connus sont ceux des régions en déclin. Les plus connus sont ceux des régions en expansion.»
Les patrons de TPE jugent positivement l'action économique de leur conseil régional. 54% assurent qu'il «prend les bonnes décisions pour le développement économique». Le score monte à 79% dans le Nord-Pas-de-Calais, 71% en Alsace, en Lorraine, en Franche-Comté. Mais en Ile-de-France, 60% des sondés sont d'avis contraire. En Paca et en Languedoc-Roussillon, 51% se montrent critiques.
«Le jugement est globalement moins sévère que vis-à-vis de l'action gouvernementale. Les dirigeants de TPE ne considèrent pas le conseil régional comme responsable du chômage, de la croissance, du déficit public. De plus, ses actions sont visibles, comme par exemple les investissements dans les infrastructures», commente Jean-Marc Jaumouillé.
Les dirigeants de TPE reprochent à une très forte majorité au conseil régional d'être loin de leurs préoccupations et d'écouter davantage les PME employant entre 20 et 250 salariés. Les deux tiers n'hésitent pas à qualifier cette institution de bureaucratique. 55% ont une opinion négative sur la manière dont l'argent du contribuable est utilisé. Malgré ce constat, 71% jugent le conseil régional utile.
Le scanner corporel arrive en test à Roissy
le figaro.fr
20/02/2010 | Mise a jour : 14:18
Ce scanner, réservé aux volontaires, permet d'identifier les volumes et les
Les passagers qui embarqueront à partir de lundi à Roissy-Charles de Gaulle pourront se porter volontaires pour être mis à nu. Pour la première fois en France, un scanner corporel va être expérimenté sur les vols en direction des Etats-Unis, dans le cadre du renforcement des mesures de sécurité après l'attentat manqué contre un avion américain le jour de Noël. Ceux qui ne souhaitent pas passer par ce scanner pourront toujours opter pour la fouille corporelle.
C'est la solution des ondes millimétriques qui a été choisie pour être testée à partir par Aéroport de Paris (ADP), qui n'a pas souhaité s'exprimer pour l'instant. Il s'agit d'un nouveau portail de sûreté «rapide et confortable pour le passager », a indiqué la Direction générale de l'Aviation civile (DGAC). Si la technologie est encore peu connue en France, plusieurs types de scanners corporels sont déjà utilisés dans le monde: les scanners à rayon X (X-Ray), utilisés en radiologie, et les scanners utilisant la technologie des ondes millimétriques.
«Tout est visible»
Avec les ondes millimétriques «qui s'arrêtent à la surface de la peau [...] tout est visible», avait assuré en janvier Jacques Le Guillou, directeur adjoint des transports aériens à la DGAC. «On distingue une silhouette, les volumes, les formes», précise un représentant de HTDS, entreprise spécialisée dans les scanners.
La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) estime tout de même que les scanners corporels doivent être utilisés dans des «conditions juridiques et techniques» garantissant la protection de la vie privée et de l'intimité des personnes. «Il importe de prendre en compte les recommandations» du groupe des Cnil européennes (G29), selon l'organisme.
Le G29 recommande notamment de privilégier les technologies permettant une représentation schématique du corps des personnes, et non leur image réelle (avec floutage du visage et des parties intimes du corps) et de restreindre la visualisation des images par des personnels habilitées, dans des locaux non ouverts au public.
Une expérimentation prévue par la loi Loppsi II
La CNIL recommande également de faire en sorte que ces personnels ne puissent pas voir en même temps l'image holographique et l'image réelle des voyageurs, de limiter la conservation des images «à la durée nécessaire au contrôle» et de sécuriser la transmission informatique des images des passagers.
Ces expérimentations figurent parmi les dispositions de la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, dite Loppsi II, votée cette semaine à l'Assemblée nationale. En Europe, les scanners corporels sont notamment déjà testés à Londres, Manchester et Copenhague, en dépit des réserves du nouveau commissaire européen aux Transports, Siim Kallas.
AFP
Noemi Concept à découvert:
La première collection
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pour les personnes à mobilité réduite
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