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Mercredi, 11 Mai 2011 15:02

EZ3KIEL «Nous n’avons jamais délaissé les guitares»

EZ3KIEL «Nous n’avons jamais délaissé les guitares»

L’essentiel: Le groupe est reconnu pour son identité musicale et visuelle, mais on connaît peu ses membres, est-ce une volonté?

Oui, nous préférons mettre en avant ce que nous faisons plutôt que nos propres personnes. Sur l’affiche de la tournée, nos visages sont divisés en quatre.

La vidéo joue un rôle très important dans vos lives?

Yann, notre bassiste, fait des images depuis le début. La vidéo et le graphisme font partie intégrantes du collectif, c’est le 5e instrument.

Le nouveau spectacle est présenté comme conçu pour l’export, comment cela sera se traduit-il?

En fait, nous arrivons au terme du «Battlefield Tour», qui a débuté en 2008. Depuis un an, nous faisons des dates à l’étranger.

Votre musique a glissé d’un électro-dub vers quelque chose de plus noisy, qu’est-ce qui a motivé cette évolution?

Le groupe existe depuis presque vingt ans, nous faisions du rock-fusion sous un autre nom. Mais nous n’avons jamais délaissé les guitares.

Avez-vous collaboré avec beaucoup d’artistes?

C’est vrai que nous avons fait beaucoup de collaborations, et la prochaine sera avec l’Orchestre symphonique du Conservatoire de Tours (avec 60 personnes sur scène). Paradoxalement, nous avons souhaité nous retrouver tous les quatre sur le prochain, qui sera peut-être le premier album sans invités.

Êtes-vous sensible à la scène dubstep anglaise?

Pas spécialement pour ma part, car j’ai l’impression que le nouveau dubstep suit la même voie que la drum’n’bass à l’époque, lorsque tout a commencé à se ressembler. Mes dernières grosses claques sont le dernier projet d’Amon Tobin, le Français The Unik, Fumuj ou encore Nao Live Band.

Cédric Botzung/L'essentiel

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