Nicolas Sarkozy et Robert Zoellick «sont convenus que les institutions financières internationales et les partenaires au développement de la Côte d'Ivoire ont un rôle à jouer pour favoriser une résolution rapide et pacifique de la crise actuelle, dans le respect de la volonté du peuple ivoirien exprimée lors des récentes élections», a précisé la présidence de la République dans un communiqué.
Les organisations internationales ont quant à elles commencé à prendre des sanctions contre le clan Gbagbo, pour faire pression sur le président ivoirien sortant, qui refuse de céder la place au président élu reconnu par la communauté internationale Alassane Ouattara.
L'essentiel Online/AFP
Authors: L'essentiel