Vendredi, le site Internet du Point avait affirmé que les trois cadres suspendus, mis en relation avec «des interlocuteurs chinois» par un sous-traitant, avaient touché de l'argent à l'étranger contre des brevets «en attente d'être déposés» sur des batteries de véhicules électriques. Le Monde a indiqué pour sa part que «le système mis en place était relativement sophistiqué, avec la constitution de sociétés écrans et l'ouverture de comptes à l'étranger, sur lesquels étaient régulièrement versées des sommes d'argent conséquentes».
(L'essentiel Online/AFP)
Authors: L'essentiel