Seul point décevant du jeu: le graphisme. Merveilleusement surprenant sur le jeu de l’an dernier, il n’a guère évolué. Mais pour tout le reste, l’aventure continue. En mieux. Au moment d’arriver à Rome, Ezio s’évanouit, ce qui fait sortir son descendant Desmond de l’Animus. Et là, au lieu d’avoir un bref extrait, le joueur peut faire évoluer Desmond dans la Toscane contemporaine et le retrouver quand bon lui semble. Du côté d’Ezio, la Rome de 1 500 est vaste. Elle se parcourt à cheval, lorsque l’on n’emprunte pas des souterrains servant de raccourcis. La vraie évolution réside dans le fait qu’Ezio dirige désormais la confrérie des Assassins. Il peut envoyer ses lieutenants à travers le monde remplir de délicates missions et les retrouver (option multijoueurs).
La configuration du jeu est améliorée; les combats sont plus fluides. Enfin (toujours le meilleur), le plongeon historique permet de croiser les Borgia, Machiavel et l’ingénieux Da Vinci.
Authors: L'essentiel