En prélude à cette publication, Washington a multiplié les contacts avec ses partenaires pour amortir le choc des affirmations, parfois crûes, contenues dans ces câbles. Les autorités américaines ont prévenu plus d'une dizaine de pays, dont les alliés stratégiques que sont l'Australie, la Grande-Bretagne, le Canada, Israël et la Turquie. Elles ont rejeté samedi soir toute négociation avec WikiLeaks, en affirmant que le site internet spécialisé détenait ces informations en violation de la loi américaine.
L'essentiel Online avec AFP
Authors: L'essentiel