«C'est une erreur»
C'est au printemps dernier que la femme avait découvert les clichés de sa lingerie exposés aux yeux de tout le monde sur le service de Google, alors qu'elle cherchait des images de son appartement où elle vivait seule. La vision de ces photos a aggravé le trouble obsessionnel-compulsif dont elle souffrait déjà, selon son témoignage.
En octobre dernier, la firme de Mountain View avait retiré les clichés immédiatement, après sa plainte, sans satisfaire la plaignante. «J'aurais pu comprendre s'il s'agissait juste d'une photo de l'extérieur de l'appartement mais montrer des sous-vêtements d'une personne exposés à l'extérieur, c'est une erreur.»
Authors: L'essentiel