Britannique, qui a commencé sa carrière à 7?ans, confie son malaise par rapport à un métier qui a failli la dégoûter à jamais du 7e art: «J’ai eu envie de tout plaquer. Je n’aimais plus ce que je faisais et je me sentais coupable à ce sujet. J’ai haï l’idée d’être dans une position privilégiée. Je n’arrivais pas à voir le positif de ma situation. J’avais énormément travaillé de 16 à 22 ans, je n’avais pas pris de vacances pendant tout ce temps. Je ne savais pas si j’allais être capable de rejouer un jour».

L'essentiel Online/Ludovic Jaccard

Authors: L'essentiel

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