Alors que la crise post-électorale a été marquée par des violences meurtrières, l'ambassadeur nommé par Ouattara aux Nations unies, Youssouf Bamba, a sonné l'alarme. «Nous sommes à deux doigts d'un génocide. Il faut faire quelque chose», a-t-il exhorté, demandant à l'Onuci de protéger les civils. Au moins 173 personnes ont été tuées selon l'ONU autour de la mi-décembre. Le gouvernement Gbagbo a évoqué un bilan de 53 morts depuis fin novembre, dont 14 membres des Forces de défense et de sécurité (FDS, loyales au sortant).
L'essentiel Online/AFP
Authors: L'essentiel