La question a été évoquée, selon Le Figaro lors du dernier sommet européen mi-décembre dans un rapport confidentiel où l'embargo est décrit comme un "obstacle majeur" à la coopération euro-chinoise en politique étrangère et dans le domaine de la sécurité.
Selon l'entourage de la Haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères Catherine Ashton, cité par le journal, la fin de l'embargo "pourrait aller très vite". Le levée de cette mesure, défendue de longue date par la France, nécessite un vote
unanime des 27 pays de l'UE.
Selon le quotidien français, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, l'Allemagne, qui y ont été longtemps hostiles, y opposeraient dorénavant "une plus faible résistance".