Paul Philipp: Le travail réalisé avec mon équipe. Car je tiens à dire que gérer une fédération de 32 000 licenciés est un travail d'équipe.
La BGL à quatorze clubs est un sujet polémique, qu'en pensez-vous?
Plus personne ne voulait du play-off, nous avons donc fait une BGL à quatorze clubs et revu toutes les autres divisions. À part un club, les treize autres sont d'accord.
Quelles sont vos satisfactions en tant que président?
Il faut se souvenir de la période où nous avons pris les rênes. Le championnat était menacé, les finances dans le flou. Il a fallu deux ans pour assainir le tout. Et puis nos victoires face à la Suisse (1-2) et le Belarus (0-1).
Et vos regrets?
La démission du sélectionneur (Guy Hellers). Même si certains pensent le contraire, et même si nous n'étions pas d'accord sur tout, nous ne voulions pas qu'il parte.
Quels sont les grands chantiers pour l'avenir?
Le stade... Sur ce sujet, je suis ni optimiste ni pessimiste, mais patient. Le travail primordial est cependant celui réalisé tous les jours chez les jeunes et dans les clubs.
Recueilli par Saïd Kerrou
Authors: L'essentiel