«Certains pays comme la France, la Grande-Bretagne, l'Italie, l'Union européenne via sa représentante Catherine Ashton et les États-Unis ont très bien réagi mardi» en s'inquiétant publiquement d'une exécution imminente, a estimé Mme Ahadi. «Certains de ces pays ont été en contact avec des représentants du gouvernement iranien. Il est sûr que toute cette attention apportée (au cas de Sakineh) a eu un rôle. Mais l'exécution n'est que repoussée, elle n'est pas levée», a ajouté cette militante en exil en Allemagne.
La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton s'est notamment dite «très préoccupée» par les informations sur une éventuelle exécution imminente de l'Iranienne et a demandé «à l'Iran d'arrêter cette exécution et de commuer la condamnation».
L'essentiel Online avec AFP
Authors: L'essentiel