«Les gens sont motivés pour rester à leur poste et ne souhaitent pas embrasser de de fonction de direction, car les indemnités y sont beaucoup moins intéressantes", souligne le chef de corps. Pour éviter un trop fort enracinement des policiers dans leurs tâches et une recherche des primes à tout prix, une remise en question du fonctionnement des indemnités pourrait être envisagée.

"Celui qui va effectuer par tous les temps des contrôles d'alcoolémie dans la nuit du samedi au dimanche mérite certainement une prime. Mais il existe toute une série d'indemnités que nous devons oser remettre en question", indique Armand Grootaers. En Belgique, il existe 62 primes et indemnités dédiées aux différentes tâches des policiers fédéraux.

(Jmh/L'essentiel Online)

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