Le porte-parole de La Poste affirme que le dossier était «actuellement à l’étude» et que «toutes les pièces n’étaient pas encore à disposition». Il a également précisé que cette affaire «ne reflète en rien ma politique de l’entreprise : il s’agit de pratiques passées qui ne sont plus celles de La Poste aujourd’hui». L’affaire sera examinée par le Conseil des prud’hommes de Longwy le 29 novembre.
L'essentiel Online/jb
Authors: L'essentiel