Le train de 7h22 est normalement constitué de deux automotrices qui tractent chacune trois wagons. «Mais aujourd’hui trois de nos machines sont à l’atelier, endommagée par la collision du 15 septembre», explique Sophie Gilissen de la SNCB, contactée par L’essentiel Online. «Deux seront prêtes dans deux mois, la troisième dans six mois».
N’y-a-t-il pas assez de machines? «Ce sont des modèles spécifiques qui doivent être dotés de deux systèmes de sécurité, pour circuler à la fois en Belgique et au Luxembourg», poursuit Sophie Gilissen. «Et pour couronner le tout, mercredi matin, l’automotrice qui devait venir de Namur a eu un pépin et n’a pu rallier Arlon». Résultat, les travailleurs frontaliers ont du s’entasser dans trois wagons.
MC/L'essentiel Online
Authors: L'essentiel