Selon Alexandre de Groot, cité par Le Soir, «les coûts des primes d'assurance ont augmenté partout. Et la Belgique reste dans le noyau dur de la zone euro. On ne constate pas de méfiance par rapport aux titres de la dette publique belge. Mais évidemment, l’effet de contagion est toujours possible. Mais nous ne sommes pas en première ligne. Il y a d'autres d’abord: le Portugal, l’Espagne, l’Italie. Et, à ce moment-là, il n’est pas impossible que la France puisse être sur la sellette avant la Belgique. Mais nous en sommes encore loin ».
(L'essentiel Online)
Authors: L'essentiel