Elle s'interroge sur les motivations du gouvernement à augmenter les tarifs de la Société nationale de contrôle technique (SNCT). L'embauche de personnel est un argument «arbitraire» car il découle nécessairement d'une hausse de l'activité, dit la CSL.
Qui affirme que les prix des services administrés ont proportionnellement davantage augmenté au Grand-Duché que dans les autres pays européens depuis 2000. En cause également, la création d'un service pour 5 euros de plus permettant aux clients d'obtenir un
rendez-vous très rapide.
La CSL craint l'instauration d'un système à deux vitesses au détriment des foyers les moins aisés et qui serait indigne d'un service public.