Pas accro physiquement
L'animateur vedette n'est pas «accro» à la cocaïne, dont la dépendance physique est, assure-t-il, faible comparée à d'autres drogues ou même au tabac. «Sur une échelle de un à cinq, la dépendance physique est de un. En revanche elle est de 4 sur 5 psychologiquement».
«Ce que je veux, c'est ne plus jamais en avoir envie», affirme l'ex-présentateur de «Ça se discute», qui a arrêté la cocaïne à plusieurs reprises, dont une fois plus de quatre ans.
Depuis son arrestation il n'y a «plus retouché» et ne prend aucune autre drogue ni «aucun substitut». «Je compense grâce au sport et à la compréhension du public. Ça fait du bien de sortir du silence. Mais je suis malade, même si c'est un mot dur à accepter».
L'essentiel Online avec AFP et mac
Authors: L'essentiel