Selon le site Internet de L’Express, Charlène Wittstock aurait eu l’intention de prendre la poudre d’escampette à quelques jours du mariage qui va l’unir samedi, au prince Albert.

Le magazine français explique que la future mariée aurait appris, la semaine passée, une information sur la vie privée du Prince qui l’aurait «ébranlée». Elle se serait alors rendue à l’aéroport de Nice dans le but d’embarquer pour l’Afrique du Sud. Elle aurait été interceptée par la police de l’aéroport, sur demande du Palais royal monégasque. «Pour ramener la future mariée à la raison, il a fallu au prince Albert et aux entourages infiniment de persuasion», précise L’express.fr.

«C’est du délire, tout est faux. C’est comme le sida d’Isabelle Adjani», a réagi Thierry Lacoste, avocat du prince Albert II et de Charlène Wittstock, contacté par Lefigaro.fr. «Je suis en train de faire un constat d’huissier et nous lançons une procédure en référé contre L’Express. Cela fait trois semaines que la rumeur tourne. On nous annonce régulièrement la parution d’enquêtes sulfureuses dans plusieurs magazines allemands mais il n’y a rien. J’étais avec le prince et Charlène Wittstock, à Paris, il y a trois jours et je peux vous promettre que tout va bien».

La presse savait?

L’Express assure qu’«un journal dispose de tous les éléments d'une histoire qui risque d'ébranler une nouvelle fois la Principauté». Samedi dernier, un journaliste de France 3 avait avancé une information allant dans le sens de celle de L’Express sur son compte Twitter: «SCOOP (à vérifier mais j'ai pas le tps): SAS Albert de Monaco aurait fait un enfant à une femme. Charlène rattrapée hier à l'aéroport». Quelques heures plus tard, il avait précisé l’origine de sa source: «Concernant mon histoire de Charlène et SAS Albert de Monaco, il s'agirait d'une allemande. Fuite source police Monaco. À confirmer».

En 2005, le prince Albert avait avoué l'existence d'un fils illégitime qu'il avait eu avec une ancienne hôtesse de l’air d’origine togolaise.

Selon Jeanmarcmorandini.com, toutes les rédactions de France avaient connaissance de cette rumeur depuis plusieurs jours, mais personne n'avait osé la publier.

(L'essentiel Online/fab)