L'étude tend aussi à démontrer que les enseignants discutent de ces problèmes avec leurs élèves. Par ailleurs, les enseignants pensent avoir une grande influence sur le devenir de l'élève. C'est pourquoi ils sont de fervents défenseurs du «Boys day - Girls day» qui «présente des hommes et des femmes dans des métiers atypiques pour eux», affirme la chercheuse. Qui tempère les résultats de son étude: «On peut penser que ceux qui ont répondu sont aussi ceux qui sont le plus favorables à l'égalité des chances».
Jérôme Wiss
Authors: L'essentiel