«Mais au rayon des dépenses, la marge de manœuvre est peu importante», explique Marlyse Pauly, secrétaire générale du COSL. Pour l'avenir, le COSL misera sur le renforcement de partenariat avec des institutions comme les communes, les écoles ou les clubs. Il compte aussi, à la marge, sur la solidarité du Comité international olympique.
Le sponsoring national sera un autre axe d'augmentation des recettes. Mais l'un des points principaux reste les rapports du COSL avec le ministère des Sports. Des ressources financières et humaines sont espérées pour permettre à l'institution d'accomplir ses missions tout en stabilisant l'indépendance et l'autonomie du mouvement sportif.
Nicolas Martin
Authors: L'essentiel