Au lieu des 27 numéros nationaux, les parents ainsi que les enfants n’auront à en retenir qu’un seul. Pour Anne Rodeschengesch, médiatrice des droits de l’enfant au Grand-Duché, «ce serait une bonne alternative au numéro national et augmenterait la synergie avec les pays frontaliers». Bien que le Grand-Duché ne compte que deux cas de disparitions d’enfant depuis 20 ans, les services de police français et belge collaborent souvent avec ceux du Luxembourg. «Ce numéro leur permettra de mieux coopérer dans le cadre de disparition dans leur pays», explique Anne Rodeschengesch.
L'essentiel Online
Authors: L'essentiel