Le Tour a prévu de rester pendant trois jours dans les Pyrénées. Il va découvrir un nouveau col, la Hourquette d'Ancizan, avant de franchir le Tourmalet et grimper à Luz-Ardiden où la Grande Boucle n'est plus allée depuis 2003. Suivent une étape à Lourdes, qui n'a plus accueilli d'arrivée depuis 1948, et l'ascension vers le Plateau de Beille, terme d'une succession de cols. Après une courte transition dans le Midi et la seconde journée de repos, le menu alpestre comporte une incursion en Italie, dans la petite ville de Pinerolo (Piémont), par les cols de Montgenèvre et Sestrières.
Le Galibier, escaladé pour la première fois en 1911, est grimpé ensuite par ses deux versants. La première fois, après les cols d'Agnel -le "toit" du Tour 2011 à 2744 mètres d'altitude- et d'Izoard, pour une arrivée au sommet. Le lendemain, par son côté nord (le plus difficile) pour rejoindre l'Alpe d'Huez dans une étape courte et très attendue de 109 kilomètres. Vingt à vingt-deux équipes, selon le choix des organisateurs, sont attendues en Vendée en juillet prochain pour le départ qui sera donné à la sortie du passage du Gois, le ruban submersible qui relie Noirmoutier au continent.
L'essentiel Online avec AFP
Authors: L'essentiel